La tragique histoire d'Ayana

Le 3 mai 2015, alors que seules les vaccinations contre la diphtérie, le tétanos et la polio sont obligatoires avant 18 mois, mais que le vaccin correspondant strictement à cette obligation est indisponible, Ayana, âgée de 5 mois, est vaccinée dans la même séance, avec Infanrix Hexa et Prevenar 13, par la PMI (Protection Maternelle et Infantile).

Dès le lendemain, l’enfant présente une forte fièvre : 42,5°C ! La maman téléphone au médecin régulateur qui lui conseille Doliprane (antalgique) et bain tiède, mais ne juge pas opportun d’envoyer le SAMU (Service d’Aide Médicale Urgente) : un peu de fièvre après un vaccin, c’est banal !

La petite reste immobile, le regard fixe. Le 6 mai, les parents décident d’emmener l’enfant aux urgences : vu les convulsions, l’enfant est placée sous oxygène, antibiotiques et perfusion. Puis elle est transférée au service de réanimation pédiatrique du Mans. Son état s’aggravant, elle est plongée dans un coma artificiel et transférée à Angers.

Les parents font appel à un avocat. L’expert désigné par le tribunal conclut que le cerveau de l’enfant est irrémédiablement détruit et, après 40 jours de coma, les parents acceptent l’arrêt de l’aide respiratoire. Ayana meurt le 15 juillet : elle aura tenu 15 jours sans assistance !

Le 16 juillet, une courte dépêche signale le décès de la petite Ayana “suite à une très forte fièvre suivie de convulsions après avoir été vaccinée“. Aucun détail sur les vaccins administrés…

Entre-temps les experts ont bien sûr invoqué une tragique coïncidence alors que la notice d’Infanrix Hexa énumère plus de 800 effets secondaires possibles, dont convulsions, encéphalites, mort subite… et que l’administration simultanée des deux vaccins fait depuis longtemps l’objet de mises en garde, mais reste recommandée par le « calendrier vaccinal » !

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